La chute du vin

La chute du vin

Le vin aussi comme l’homme est en chute permanente depuis sa création. Cette chute est représentée par le lien entre son esprit personnel et l’Esprit Saint. Rien à voir avec la qualité physique, de même comme le concept de la qualité fondée sur le terroir n’a rien à voir avec la qualité biochimique du vin qui après la transformation fermentative change essentielement de matrice de composition. La qualité physique et chimique est toujours matérielle, c’est la partie de la matière qui s’affine dans le temps à la suite du progrès matériel, sans compter avec la partie spirituelle qui reste toujours un mystère inconnu, mais qui est pourtant la cause et le sens vital de l’existence physique et chimique de la matière.


La chute du vin, aussi comme la chute de l’homme s’exprime dans l’éloignement entre ces deux composantes, matérielle et spirituelle, à la suite de la corruption de l’esprit personnel du vin et de l’homme par la force des mauvaises passions. Comme expliqué dans les articles précédents, l’esprit personnel peut être positif ou négatif, du bien ou du mal. L’esprit du vin en tant que création humaine dépend directement de l’esprit personnel de l’homme et indirectement de l’esprit du mal d'un côté, et du Saint Esprit d'autre côté. Puisque l’homme est en chute spirituelle depuis sa création, le vin est en chute aussi, car il est une création de l’homme qui se trouve toujours en lien avec. Le vin et le pain sont les seules créations divines de l’homme (qui sont liés à Dieu), le vin étant rapproché aux organismes vivants non-rationnels. Son père est le vignoble et sa mère est la cave, tandis que son créateur spirituel est directement l’homme et indirectement Dieu, soit l’homme-Dieu. Dans ce sens, il est légitime de considérer comme le Créateur spirituel du vin, Jésus Christ, puisqu’il est le seul exemple d’incarnation ou matérialisation du Saint Esprit dans l'histoire de l'humanité, où les deux composantes, spirituelle et matérielle se sont réunies grâce à la troisième composante divine.


Le fait que Jésus Christ a appelé le vin comme Son sang a un sens spirituel aussi comme matériel (physique et chimique), où la composition du vin change avec les transformations fermentatives, suite auxquelles le vin devient un nouveau produit stable et parfait, distingué de l’ancien produit de moût de raisin, qui est instable du point de vue matérielle (biochimique et physique) et pourtant imparfait du point de vue spirituelle. Ainsi, la qualité spirituelle du vin dépend essentiellement de son Créateur ou Propriétaire final grâce auquel, il acquît la divinité du Saint Esprit. D'autre côté, il peut acquérir aussi l'esprit du mal à travers de l'esprit de son proprietaire matériel.  


Malheureusement, de nos jours de moins en moins des humains ne sont reliés au Saint Esprit, on vie dans un monde de moins en moins religieux, ainsi que de plus en plus matériel. Il est évident que la qualité divine disparaît dans le vin, aussi comme dans les hommes. La corruption de l’esprit du vin est générée par la tendance de l'homme vers le matérialisme et le confort personnel. Le lien avec le Créateur est ainsi de plus en plus faible, tandis que le lien avec le mal-corrupteur est en croissance. 

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